18 km + 200 m difference in level going up (slightly more going down extremely steeply and painfully which I am not counting) = total 20 km
4 hr walk + 2 pauses, 1hr and 20 min
Last night we found a very pleasant eating and drinking place in the pedestrian area - "El Ultramarino, De beber y de comer". At that time of the day, ie before 8.30 pm they offered a Degustación: choice of three types of local wine, three types of local beers - it is also a shop selling local produce, honey, jams etc - very interesting. So Andrea had wine, I had beer - plus an assortment of cheeses and biscuits served on a slate which we complemented with an extra plate of one of the cheeses later. Delicious!
Breakfast in the hotel could be had at 8 am but was not included in the price of the room. So we decided to leave early and have breakfast in one of the numerous bars as we were leaving town. One bar had struck us upon our arrival yesterday at the edge of the pedestrian zone of the town centre - there was a huge shell behind the tables on the terrace against the facade. And this morning as we were counting the bars in this town it seemed to be the last bar on the way out of town.
So we went in and settled at a table. There was a lot of to-ing and fro-ing between us and the young man who served us and in the background the man busy in the kitchen - what were we going to have and how about a sandwich to take with us etc etc. Andrea was looking at the decorations on the wall - everything in connection with Santiago and the caminos; several pilgrims' credencials with all the stamps - had he done those caminos? No, the "jefe" had done them! So we asked to talk to the jefe and he turned out to be the one who had cooked my omelette. And he came and sat with us and we had a long interesting talk about his philosophy concerning the spirit of the camino, albergues etc, etc. He was in the process of applying for a licence to open several albergues and this bar he had opened only a week ago! And he is not only jefe of his kitchen and of his bar, but also jefe of an association called Stellae solidaria connected with the development and maintenance of the caminos.
Thus our first pause for breakfast which normally takes 20 minutes took one hour! We then had another pause in the café called Flora in Mos a few kilometres along our way in order to say hello from Roberto to the lady who was jefe of that establishment. She was very much surprised, did not understand immediately, but when she did she had a good laugh. Another 20 minutes pause for us and that was it until we arrived in Redondela close to our hotel and I could have my beer!
The walk was mostly road without traffic, 200 m up, but in easy stages, up and flat and up again and flat again, if you see what I mean. But then going down was very painful! So steep for such a long time! We overtook one young couple - she was sitting on a wall rubbing her knee! Others we had overtaken before, so did not see how they fared going downhill. Earlier we had overtaken one elderly couple - she was carrying her pack, but his luggage looked like a shopping trolley with rather small wheels. I cannot imagine how he managed to drag that thing along on stony or otherwise uneven paths!
Our hotel is an aparthotel - we have a kitchen which we do not need and a washing machine which is very handy plus a rack for drying our clothes!
And while I am writing this Andrea is out on a walkabout and later this afternoon she will take me to the most interesting parts of the town. Very practical to have one's private guide.
Andrea, Roberto and Ina |
Scarecrow |
....and another two |
Followwing the man with the shopping trolley |
Cafe Flora in Mos |
Redondela |
Redondela |
Redondela |
Redondela: Covento da Vilavella |
On pouvait prendre le
petit déjeuner à l hôtel à 8 h, mais ce n'était pas inclus dans le prix de la
chambre, donc nous avons décidé de partir plus tôt et de déjeuner dans un des
nombreux bars à la sortie de la ville. A notre arrivée hier, nous avions
particulièrement remarqué un des bars à l'entrée de la zone piétonne du centre
ville - il y avait une énorme coquille sur la façade derrière les tables sur la
terrasse. Et ce matin comme nous comptions les bars de la ville, il
semblait être le dernier des bars en sortant de la ville.
Donc nous sommes
entrées et nous nous sommes installées à une table. Il y avait beaucoup d'aller
- retour entre nous, le jeune homme qui nous servait et, à l'arrière plan, un
homme qui était occupé dans la cuisine - ce que nous allions prendre, et que
pensions-nous d'emmener - un sandwich pour la route? etc
etc. Andrea regardait les décorations sur le mur - tout était lié à
Santiago et les caminos; il y avait plusieurs credentials de pèlerin avec tous
les tampons - est-ce qu' il avait fait ces caminos? Non, le "jefe"
les avait faits! Donc nous avons demandé de parler au jefe et
il s'est avéré que c'était lui qui avait préparé mon omelette!
Il est venu s'asseoir
avec nous et nous avons pu avoir une longue et très intéressante discussion sur
sa philosophie concernant l'esprit des caminos, des albergues etc. Il
avait commencé les démarches pour ouvrir plusieurs albergues et il avait ouvert
ce bar-ci il y a juste une semaine! Et il est non seulement
jefe de sa cuisine et de son bar mais aussi jefe d'une association appelée
Stellae solidaria qui s'occupe du développement et de l'entretien des caminos.
C'est ainsi que notre
première pause petit déjeuner, qui prend normalement 20 minutes, a pris une
heure! Ensuite nous avons fait une autre pause dans le café appelé
Flora à Mos quelques kilomètres plus loin pour pouvoir dire bonjour
de la part de Roberto à la dame qui était le jefe de cet
établissement. Elle était très étonnée et n'a pas compris tout de suite,
mais quand elle a compris elle a bien ri. Encore une pause de 20 mn pour nous
et c'était tout pour les pauses jusqu'à notre arrivée à Redondela, près de
notre hôtel et j'ai pu boire ma bière!
La marche était
presque toujours sur une route sans circulation. 200 m de montée, mais par
étapes faciles: une montée, ensuite sur le plat, ensuite une montée, ensuite
sur le plat, si vous voyez ce que je veux dire. Mais ensuite, descendre
était drôlement pénible! Si abrupte pendant si longtemps! Nous avons
dépassé un jeune couple - elle était assise sur un mur, en train de frotter son
genou. D'autres, comme nous les avions déjà dépassés, nous
n'avons pas pu voir comment ils se sont débrouillés. Plus tôt nous avions
dépassé un couple assez âgé - elle portait son sac, mais l'homme tirait une carriole
pour faire les courses avec son sac avec des roues plutôt petites! Je ne peux
pas comprendre du tout comment il a pu trainer ce chariot sur les chemins
caillouteux ou autrement cabossés !
Notre hôtel est un hôtel-appartement -
nous avons une cuisine dont nous n'avons pas besoin et une machine à laver qui
est très utile, plus un séchoir pour étendre nos vêtements !
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